Tawas MC - Ce n’est qu’un hommage

Producido por: G. De Pedro

Letra de Ce n’est qu’un hommage


Ya man, ceci n'est rien d'autre qu'un hommage
Que je rends, à tous ceux là, qui nous ont quittés

Quand, ici bas, la mort veut te prendre...la vie...
Nul ne peut te prévenir...
Prenons, la vie comme elle vient...sur terre...
Nul ne prédit l’avenir...
Peu importe, que tu sois riche, ou pauvre, sage ou idiot
Peu importe, si tu es gros, ou mince, vilain ou beau
Peu importe, que tu sois noir, ou blanc, sous terre on repose
Et nul ne viendra te donner, un préavis...
La vie se chargera de notre devenir

Providence ou coïncidence, cette tragédie étrange,
Due au non respect, respect du code de la route
Est-ce négligence, ou, un manque d’expérience?
C’est ce que je me demande, tous les jours

[Estribillo] (x2)
Ceci n’est rien d’autre qu’un hommage, que je rends,
A toutes celles, qui me rappellent Florence,
Et c’est dommage pour tant de naufrage,
Entre quatre planches, à Dieu la souffrance,
Tu nous donnes la vie, et tu la reprends
Dans nos mémoires sont gravées, leurs images

Man, dans cet univers il y a du bon et de la merde...
Se ne sont pas des chimères sur terre...tout est éphémère
Ta vie ne t’appartient pas, encore moins à ton papa
Elle appartient à Dada, celui qui nous cata- loguera
Quand viendra le jour du, dernier jugement,
Même si t’es qu’un juge de touche, tu ne t’épargneras pas,
Et justement pour cela ton prochain ne le juge pas,
Sinon après ta mise en bière, deux mètres sous terre
Toi aussi tu seras jugé, ri-goureusement
Nous sommes au point d’un non retour
La vie sur terre est un mystère
Nous devons dire sans préavis à la famille et les amis,
Que, nous les chérissons, parce qu'ils nous sont tous chère

Parce qu'ils nous sont tous chère,
nous, sommes tous fait de chaire,
et d'os, mon frère, faux pas perdre tes repères
Parce qu'ils nous sont tous chère,
nous, sommes tous fait de chaire
et d'os, mon frère, faux pas perdre tes repères


[Estribillo] (x2)
Ceci n’est rien d’autre qu’un hommage, que je rends,
A toutes celles, qui me rappellent Florence,
Et c’est dommage pour tant de naufrage,
Entre quatre planches, à Dieu la souffrance,
Tu nous donnes la vie, et tu la reprends
Dans nos mémoires sont gravées, leurs image

Vu que, face à un tel macabre...
Toutes les décisions, à prendre....
Ne pourront apaiser, le cœur de ces hommes affectés...
Ou ramené à la vie, tous ces cadavres...
Qui aujourd’hui, sombrent, dans l’ombre...
Et dont les âmes, errent dans l'ombre...
Mais à qui la faute, «à qui la faute» à qui le tord?
Nous sommes devant, les faits accomplis
Prenons tous des mesures convenables
Pour arrêter ces actes irresponsables


[Estribillo] (x2)
Ceci n’est rien d’autre qu’un hommage, que je rends,
A toutes celles, qui me rappellent Florence,
Et c’est dommage pour tant de naufrage,
Entre quatre planches, à Dieu la souffrance,
Tu nous donnes la vie, et tu la reprends
Dans nos mémoires sont gravées, leurs images